
Le frelon asiatique (Vespa velutina nigrithorax) accidentellement importé de Chine en France en 2004 s’est rapidement étendu dans le pays, mais également en Europe. Il est à l’origine de nombreuses interrogations et inquiétude en raison du risque de son venin pour l’homme, mais également sur son effet nocif sur la biodiversité (prédation des abeilles).
C’est dans ce contexte que des chercheurs se sont intéressés à sa signature chimique afin de proposer des outils permettant de réduire l’expansion de cette espèce invasive.
Malgré cette mauvaise réputation, celui-ci ne pourrait-il pas présenter une face cachée ? C’est ainsi que le programme ARD2020 Cosmétosciences financé par la région Centre Val-de-Loire a permis de réaliser la première étude sur le venin de frelon asiatique comme une source particulière de molécules potentiellement bioactives d’intérêt pouvant prévenir ou atténuer le vieillissement de la peau.
>> Photo : David Da Silva, ICOA.
Organisée par Centre•Sciences en partenariat avec les organismes de recherche du Loiret.
David DA SILVA, ICOA (Université d'Orléans/CNRS)
Entrée libre